Né d’un couple de culs-de-jatte,
avec un père cul béni
et une mère faux-cul,
enfant, Norbert toujours allait cul nu.
Adulte, à force de boire cul sec,
il ne voyait jamais que le cul de la bouteille
et finit donc par avoir un cul de plomb
avec pour conséquence qu’il était souvent sur le cul.
Quand alors il avait la tête dans le cul,
il hurlait aux gens qui avaient un balai dans le cul :
« Parle à mon cul, ma tête est malade ».
Les pauvres en restaient sur le cul.
Heureusement, il était cul et chemise avec son tailleur,
pourtant un vrai casse-cul.
à qui ça trouait le cul de voir Norbert ainsi
et qui toujours le poussait au cul
« Tu n’es qu’un trou du cul,
un peigne-cul.
Mais bon Dieu, sors-toi les doigts du cul.
Magne-toi le cul» lui disait-il.
Alors Norbert, le cul entre deux chaises
avouait ne pas avoir de couilles au cul
mais par contre souvent beaucoup de cul,
surtout avec les gros culs sans vertu.
Il aimait les femmes avec une bouche en cul-de-poule,
du style qui pète plus haut que son cul,
qui adore avoir le feu au cul
et dont le popotin est à se taper le cul par terre.
Si elles aiment les histoires de cul
et avoir le cul bordé de nouilles,
quand elles en ont plein le cul,
elles vous bottent le cul.
Car si elles vous lèchent le cul
c’est pour que vous vous cassiez le cul,
à tout le moins vous fendiez le cul
pour toujours être à leur cul.
En plus, ces femmes coûtent la peau du cul,
bien plus cher qu’un film de cul.
Elles n’aiment guère les culs-terreux
sauf à les laisser le cul sur la paille.
Ainsi, pour une belle étrangère, une vraie pèle cul,
Norbert finit ruiné dans le trou du cul du monde.
Conscient d’être dans un cul-de-sac pour le reste de ses jours,
le pauvre ne put toutefois que se la foutre dans le cul.